La démocrazy c’est chaos et (presque) anarchie.

Chaque joueur possède de petits pions colorés qui serviront à compter les points de victoire, deux cartes de vote (oui et non) et une carte de vote spéciale tirée au hasard.

À chaque tour, après avoir pioché, le joueur actif joue une carte de loi pour la soumettre au vote des autres joueurs (et du sien).

Si la majorité est favorable, la loi est appliquée, sinon la carte est défaussée.

Jusqu’ici, le principe est simple.

Certaines lois vont modifier la valeur des pions de certaines couleurs pour permettre de gagner plus de points au final.

D’autres lois viendront modifier les règles du jeu au fur et à mesure.

Certains cas de figure deviennent des casse-têtes qui vous feront réfléchir à deux fois avant de voter.

Heureusement, pour ne pas voir des situations devenir inextricables, des symboles apparaissent sur les cartes de loi et il ne peut y avoir qu’un seul symbole identique en jeu à la fois.

La nouvelle loi remplace alors l’ancienne.

Dès que la carte Fin est piochée, la partie se termine et on passe au calcul des points.

Celui-ci tient compte du nombre de pions que les joueurs possèdent, de leurs couleurs et des lois en vigueur.

Les parties sont chaotiques au possible et il est très difficile de contrôler quoi que se soit.

Clairement, le but du jeu n’est pas de vaincre, mais de passer un bon moment avec un jeu vraiment farfelu.

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